Ici et maintenant, c'est capital

Ici et maintenant, c'est capital (4 min 52 s)

Ajoutée le 22 avril 2015

Résumé de la vidéo

Investisseur dans de nombreuses PME de toutes les régions du Québec, le fonds public Capital régional et coopératif Desjardins (CRCD) appuie des rêves d'entrepreneurs qui ont à cœur le dynamisme de leurs régions. Quelques entrepreneurs partagent avec nous leur enthousiasme à l'égard des projets réalisés avec l'accompagnement de CRCD.

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Ici et maintenant, c'est capital(4 min 52 s)

Ajoutée le 22 avril 2015 | Entreprises

Note : Les informations placées entre crochets décrivent le contenu visuel et audio de la vidéo autre que le dialogue ou la narration.

Marie-Claude Boisvert : Inspiré des valeurs coopératives du Mouvement Desjardins, Capital régional et coopératif Desjardins, communément appelé CRCD, s'est doté d'une mission engageante. Fier d'être un partenaire à long terme flexible, nous pouvons aujourd'hui accompagner les entreprises à chaque étape de leur vie.

Au fil des ans, nous avons amélioré nos façons de faire, élargi notre réseau. Notre rêve : accompagner les entreprises québécoises à devenir de véritables leadeurs dans leur marché.

Comme vous l'entendrez, les gens sont au cœur même de cette mission et c'est ce qui nous inspire dans chacune de nos actions.

Alain Brasseur : De savoir qu'on a pu conserver les intérêts de l'entreprise ici au Québec et de continuer à la développer pour les prochaines années, c'est certainement la plus grande fierté qu'on en a avec un partenaire qui est aussi québécois.

Jean Marcoux : Ça devient une croissance organisationnelle qui ne dépend plus de quelques individus et qui a une vision stratégique de développement. Toujours avec un bon partenaire financier et des joueurs de relève vont pouvoir s'intégrer également comme actionnaires.

Pierre Marcouiller : On a pu le vivre parce qu'on a fait beaucoup d'acquisition etc. puis ils ont été très rapides à prendre des décisions avec nous, d'agir puis c'est ce qui nous a permis de créer l'entreprise que l'on est aujourd'hui de plus de un milliard de chiffre d'affaires avec un siège social au Québec, c'est quand même quelque chose dont on est fier.

Claude Delâge : Ce qui a fait la différence pour Desjardins et CIF, c'est notre capacité de comprendre les enjeux de l'entreprise et notre désir de faire des transactions de cette nature. C'est vraiment dans notre ADN de faire des transactions de relève.

Jean Marcoux : Et cette année, on vient de refaire une troisième transaction toujours dans le cadre où CIF Métal a racheté une partie des actions participantes de Desjardins pour que nous redonner aux actionnaires dirigeants une partie encore plus prédominante, encore plus motivante pour la direction.

Francis Provencher : Quand on est un jeune entrepreneur, on n'a pas souvent les liquidités, les fonds nécessaires pour acquérir une entreprise de cette importance là. Donc, ce que ça nous a permis, c'est de faire vraiment notre première grosse transaction pour acquérir une entreprise au lieu de démarrer une entreprise de zéro.

Renaud Fournier : J'ai décidé de leur laisser la place quand il y aurait un majoritaire à ma place qui serait une garantie d'une continuité pour les Industries Fournier. Il faillait absolument que ces gens-là n'aient pas peur du lendemain.

Harold Roy : Avec Desjardins, on a vu qu'on pouvait que s'améliorer en mettant en place un positionnement majoritaire avec Desjardins, on pouvait continuer à être des entrepreneurs.

Emmanuel Duchesne : Le plus important, c'est vraiment d'y aller avec les personnes avec qui on le sent. Que ça va être le plus propice avec qui on va travailler pour les prochaines années. Donc, d'y aller avec, oui avec son cœur, avec sa tête mais ultimement avec les relations qu'on a avec les gens.

Pierre Marcouiller : Pour moi, c'est Desjardins, c'est le partenaire idéal. C'est le partenaire qui appuie le management, qui a une vision à très long terme au niveau de son placement, qui va être aussi capable de réagir très rapidement aux occasions d'affaires.

Luc Ménard : Chez CRCD, nous pouvons prendre des participations au capital action à titre d'actionnaire minoritaire ou majoritaire de quelques centaines de milliers de dollars à plusieurs millions de dollars.

Dans chaque cas, notre objectif est d'offrir un service d'accompagnement adapté à la croissance de ces entreprises. On le sait au Québec, il y a un enjeu de transfert d'entreprises. CRCD s'est donné comme mission d'accompagner les entrepreneurs qui ont à cœur la continuité de leur entreprise mais également la vitalité économique de leur région.

Marie-Claude Boisvert : Aujourd'hui notre mission est plus puissante que jamais. Elle guide chacune de nos actions et nous sommes fiers de la partager avec vous.

Voix hors champ : Activer l'entrepreneuriat d'ici en privilégiant la propriété québécoise et en se prolongeant dans les générations à venir afin d'accroitre notre richesse collective en créant des passerelles vers demain. Nous contribuons ensemble à la vitalité de toute une économie.

Marie-Claude Boisvert : Chez CRCD, nous en avons fait une véritable déclaration d'engagement. Garder et valoriser le meilleur de l'entreprenariat d'ici. Ça nous appartient d'y croire, d'y contribuer et ensemble, d'en être fiers.