Note : Les informations placées entre crochets décrivent le contenu visuel et audio de la vidéo autre que le dialogue ou la narration.

[Mise en contexte : La capsule présente l’organisme communautaire Répit et tous ses services et bienfaits racontés par les personnes aidées par Répit.]

[Texte à l’écran : Des fois la vie pèse lourd, mais pour pas qu’j’tombe J’compte sur l’amour que j’reçois pour m’enlever le poids du monde - Koriass]

[Musique inspirante qui joue tout au long de la vidéo.]

[Texte à l’écran : Chez Répit en 6 inspirations]

[Texte à l’écran : Inspiration #1]

[Images à l’écran : Nous voyons Anne-Marie et Caroline, à l’extérieur, qui se dirigent vers Répit Jeunesse. De dos, leurs pieds, leurs mains. On voit les mains d’Anne-Marie et de Caroline se serrer et se donner du courage.]

Anne-Marie : Dans le fond, Répit Jeunesse, c’est un organisme de travail de rue au départ. Mais ils ont des services aussi. Y ont le Centre de jour, une école, il y a des activités comme le cirque, il y a le café pour les jeunes le soir.

[Images à l’écran : Plan statique de la façade de Répit.]

Narrateur : Répit est un organisme communautaire en travail de rue qui existe depuis plus de 27 ans.

Anne-Marie : Je dirais que des fois, ça brasse dans la vie. Puis, tu as besoin d’une place parce que… Des fois, moi, j’ai besoin d’être quelque part juste pour arrêter de penser, puis quand je suis chez nous toute seule, j’arrête pas de penser. Si je viens ici, je peux jaser avec les intervenants.

[Images à l’écran : Anne-Marie et Caroline sont sur un banc en train de rigoler ensemble, leurs visages sont souriants.]

Narrateur : Des travailleurs de rue arpentent Victoriaville pour aider les exclus, et des travailleurs de milieu accueillent les gens sur place dans le cadre du Centre de jour et du Café Oppidum.

[Images à l’écran : Des passants sont filmés dans le parc à l’extérieur et nous voyons ensuite une travailleuse dans un bureau sur son ordinateur.]

Dave : C’est comme, comment j’peux dire, une sphère contrôlée pour les jeunes, mais sans être envahissant, on peut dire. Moi, ça a été beaucoup positif pour moi.

[Images à l’écran : Dave est en train de jongler tout en étant sur un plateau d’équilibre, on le voit boxer sur un punching bag au ralenti.]

Caroline : On arrive, on peut prendre un café, on peut jaser, on peut aller jouer une partie de billard, on peut faire du dessin.

[Images à l’écran : Entrée d’Anne-Marie et de Caroline chez Répit Jeunesse, elles ouvrent la porte, on voit en plan rapproché le visage d’une adolescente concentrée en train de dessiner, et le résultat de son dessin.]

Anne-Marie : Et puis, si on a besoin de faire des démarches ou qu’on a besoin d’un ordinateur, de la douche, de la buanderie, on y a accès.

Caroline : Et puis il y a un volet aussi. Il y a deux intervenants souvent sur le plancher et quand ça ne va pas, tu peux discuter avec un intervenant. Y a un volet aussi pour ceux qui sont sans abri, dans le fond, ils peuvent venir faire du lavage ici, y a du répit.

[Images à l’écran : Portrait d’Anne-Marie souriante accoudée au-dessus d’un fauteuil dans le centre Répit suivi d’un portrait de Dave, le visage heureux, qui tient avec ses mains son punching-bag dans le gymnase du centre Répit. On a un plan du fauteuil vide avec un zoom arrière et un fondu noir.]

[Texte à l’écran : Merci d’être accessible depuis longtemps.]

[Logos à l’écran : Centre Répit Jeunesse et la Caisse Desjardins des Bois-Francs.]

[Texte à l’écran : Pour voir toutes nos capsules « Inspirations », suivez-nous sur Facebook]